COMMUNIQUE DE
PRESSE 14/02/09
Communiqué de presse 14 février 2009
Pascal Dazin, docteur en médecine et
médecin du travail
Président de l’Alphabet du Respect des Enfants
Nordiste de naissance, buveur de bière, mais pas du tout perverti
comme ces braves gens ci-dessus évoqués.
Les singes border-line
Les singes de son quartier se croyaient civilisés, chantait Jacques Brel.
De son côté, Léo Ferré crachait sur les " salonnardes équivoques "
des notables surprotégés par les abus de pouvoir et l’argent facile, bien
protégés derrière leur respectabilité de façade, ou ce procureur lorgnant
sur le bas ventre d’une fillette.
Plus goguenard, Brassens imaginait un gorille pas plus moral qu’un juge
sans état d’âme, mais qui avait sur ce dernier un avantage : son
naturel.
Et à ce sujet, puisqu’on a les poètes que l’on mérite, Monsieur le
juge Beauvais, juge d’instruction promu à de belles fonctions honorifiques,
se mobilisant au secours de Monsieur le Juge Burgaud, vient de faire une épatante
démonstration de sa boursouflure personnelle et de son esprit de corps avec un
lobby devenu border-line.
Or donc les gens du Nord, après avoir bu leurs bières, violeraient des
enfants en famille ?
Et Monsieur le juge Burgaud, père-la-vertu, aurait été abusé par sa
connaissance du milieu dépravé malgré lequel il tentait vaillamment de rendre
" justice "
Que n’a t’on entendu ce bon juge Beauvais parlant du rusé juge Renard, ou
de ce magistrat se masturbant en audience, ou de ce magistrat torturant son épouse
avec des mégots enfoncés dans la poitrine, ou de ce magistrat donnant illégalement
la " garde " d’une enfant à une mère bretonne infanticide
qui tua peu après à nouveau son autre enfant, ou de cet expert psy breton assassinant
sa femme, ou de ce magistrat faisant des photos des fillettes de la DDASS dénudées
dans " son " tribunal, ou de ce procureur Hontang, spécialiste
français de l’éthique des avocats généraux, volant une carte bleue pour payer
des prostituées allemandes (ils sont presque tous en arrêt maladie et auront
presque tous la légion d’honneur après congé de longue maladie et congé sabbatique
payé à plein temps et pouvant durer cinq ans).
Que n’a t’on entendu monsieur le conseiller protégé par la cour de cassation
déplorer que chaque jour en France, des centaines de milliers de situations humaines
sont capturées par son lobby afin de multiplier les affaires sous prétexte de
difficultés conjugales, en parfaite violation de deux conventions ratifiées, mais
violées légalement dans les tribunaux ?
D’après ce bon juge Beauvais, ce ne sont pas des psychologues agréés qui
seraient nécessaires pour civiliser à la mode judiciaire les brutes nordistes,
ces éponges à bière : ce seraient des ethnologues agréés qui seraient
selon lui utiles.
Les théories scientifiques s’affrontent donc, entre celle de Monsieur
Berlusconi, un para-mafieux, qui a diagnostiqué que les magistrats sont " anthropomorphiquement
différents " et celle de Monsieur Beauvais, un mafieux légaziste, qui
pose que les nordistes sont ethnologiquement décadents.
Et ce n’est pas maître Sarkozy, avec sa théorie de la génétique pénale,
qui pourra départager ses amis objectifs.
Pour ma part, j’ai ma petite idée : l’appareil judiciaire tel que ses
pouvoirs exorbitants l’ont dénaturé, prend ses désirs personnels pour la réalité
des autres.
Les saletés racontées par le juge Beauvais illustrent la projection de pervers
narcissiques impunis, tourbillonnant dans leurs fantasmes, tels les nobles décadents
de l’avant révolution française, dans le vertige de leurs propres besoins
tordus, le plus souvent, et dans leur propre réalité, quelquefois, bien plus souvent
chez eux que dans la société civile.
Ils ont inventé les procès à charge exclusive sous prétexte d’enfant, au
pénal et surtout au civil, à des dizaines de millions d’exemplaires annuels,
dénaturant les natures humaines suivant qu’elles doivent être puissantes ou
qu’ils doivent être misérables, afin que les affaires tournent, en instrumenatlisant
l’idéologie féministe à des fins procédurières.
"Et c’est depuis lors qu’ils sont civilisés, les singes, les
singes, les singes, de mon quartier "!